Ce roman s’inspire d'une nouvelle d'Emile Zola, incluse dans cette édition. Si j'ai apprécié certains passages, je n'ai pas vraiment accroché. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de longueurs. Et pas vraiment d'intérêt au sujet. Pourtant l'idée était intrigante. Mais elle n'est vraiment menée à bien ni dans la nouvelle ni dans le roman.
Je n'ai pas réussi à m’attacher au personnage de Maud. Elle est vraiment pénible. J'aurais aimé la voir plus combattive, plus énergique. Mais finalement, on n'arrive pas à s'intéresser à ce qui lui arrive.
Je n'ai pas retrouvé non plus l'atmosphère parisienne si bien rendue dans le Ventre de Paris ou la Fortune des Rougon.
Un rendez-vous manqué.
Résumé : Lorsque Maude Pichon s'enfuit de sa Bretagne natale pour échapper à un mariage dont elle ne veut pas, elle monte à Paris, ville-lumière en ébullition à la veille de l'exposition universelle de 1889. Hélas, ses illusions romantiques s'y évanouissent aussi rapidement que ses maigres économies. Elle est désespérément à la recherche d'un emploi quand elle tombe sur une petite annonce inhabituelle : " On demande de jeunes filles laides pour faire un ouvrage facile. " L'Agence Durandeau propose en effet à ses clients un service unique en son genre : le repoussoir. Son slogan ? " Louez un faire-valoir, vous en deviendrez d'emblée plus attirante.
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