jeudi 6 juin 2013

Les dix enfants que Madame Ming n'a jamais eus (Eric-Emmanuel Schmitt)


Chroniqué de cet auteur:
La rêveuse d'Ostende
La femme au miroir
Le sumo qui ne pouvait pas grossir
Tétralogie sur les religions

Lu également :
Odette Toutlemonde et autres histoires
Petits crimes conjugaux

Dans le cycle sur les religions de Schmitt, j'ai eu des hauts et des bas. Là, c'est un haut. Un vrai de vrai. J'ai adoré la construction de ce roman, les différents personnages et la fin, vraiment très belle.

On entre immédiatement dans l'histoire. Le personnage principal se découvre peu à peu. Et peu à peu notre regard sur lui change. On lui découvre des faiblesses, des doutes. Doutes que Madame Ming va l'aider à surmonter. J'ai adoré cette femme. Elle est extraordinaire. D'un courage magnifique et d'une force incroyable.

On ressort de ce roman avec une autre vision des choses. Et surtout on peu vraiment réfléchir sur la doctrine de Confucius.

Un livre intelligent et poétique, qui met de bonne humeur. What else?

Résumé : Madame Ming aime parler de ses dix enfants vivant dans divers lieux de l’immense Chine. Fabule-t-elle, au pays de l’enfant unique ? A-t-elle contourné la loi ? Aurait-elle sombré dans une folie douce ? Et si cette progéniture n’était pas imaginaire ? L’incroyable secret de Madame Ming rejoint celui de la
Chine d’hier et d’aujourd’hui, éclairé par la sagesse immémoriale de Confucius.

2 commentaires:

  1. ça a l'air pas mal mais je n'accroche pas trop avec cet auteur

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  2. Il est assez inégal mais il y a souvent du très bon.

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