Un nouveau dimanche poétique sur une idée originale de Celsmoon!
Je t'écris
Je t'écris des trottoirs de nos villes habillées en Noël,
de quelques nuits d'hiver aux saveurs douces-amères
Je t'écris de ces soirs de lumières,
des yeux émerveillés de cette petite fille
Au pied d'un grand sapin sur la cinquième avenue
Je t'écris d'un départ, d'une valise oubliée
Je t'écris d'un lac blanc où ce couple patine
Je t'écris d'un désert où l'épave d'un bateau se souvient de la mer,
je t'écris d'une terre où des maisons s'écroulent
Je t'écris de Venise, où les amants s'éveillent au son de vieux clochers
Il y neigera peut-être encore cette année
Je t'écris de la mer, au large de Gibraltar le regard vers Tanger
Je t'écris de l'Afrique où l'on meurt par milliers
Des quatre coins de la terre, je t'écris des tranchées de guerres abandonnées
Je t'écris d'un baiser, de ce banc de Paris
où deux amants s'enlacent dans leur éternité
et que rien ni personne ne pourrait déranger
Je t'écris d'un café, de l'aile d'un avion
où nos mémoires s'enlacent dans ton éternité
et que rien ni personne ne pourrait m'enlevai
Je t'écris de ces ciels de quart monde
où les corps si légers d'enfants trop peu nourris s'élèvent sans faire de bruit
Je t'écris de la rue où l'on danse et l'on chante
Je t'écris du plumier d'un vieillard solitaire à la chambre oubliée
Je t'écris de la part de ces dieux impuissants aux noms desquels on tue
Je t'écris de la main de ces hommes de paix qui n'ont pas renoncé
Je t'écris de la Seine, la tour Eiffel y brille dans des reflets passés
Je t'écris du souvenir d'un baiser par milliers
Des quatre coins de la terre, je frai le tour du monde, d'un jour très ordinaire
Je t'écris de ce rêve de t'avoir tant aimé
Je t'écris ébloui par tant d'humanité
Des quatre coins de la terre, je frai le tour du monde, d'un jour très ordinaire
Je t'écris de ce rêve de t'avoir tant aimé
Je t'écrit ébloui par tant d'humanité
je t'écris des tranché de guerre abandonné
des quatre coin de la terre
je t'écris de ce rêve
de t'avoir tant aimé
je t'écris ébloui par t'en d'humanité
des quatre coin de la terre
d'un jour très ordinaire
je t'écris de se rêve de t'avoir t'en aimé
je frai le tour du monde
je t'écris de se rêve
4 coin de la terre
je frai le tour du monde d'un jour très ordinaire
de t'avoir t'en aimer
par t'en d'humanité
je t'écris ébloui par t'en d'humanité
4 coin de la terre 4 coin de la terre 4 coin de la terre
je t'écris de se rêve de t'avoir t'en aimé
je t'écris éblouis par t'en d'humanité
Grégory Lemarchal
Je t'écris
Je t'écris des trottoirs de nos villes habillées en Noël,
de quelques nuits d'hiver aux saveurs douces-amères
Je t'écris de ces soirs de lumières,
des yeux émerveillés de cette petite fille
Au pied d'un grand sapin sur la cinquième avenue
Je t'écris d'un départ, d'une valise oubliée
Je t'écris d'un lac blanc où ce couple patine
Je t'écris d'un désert où l'épave d'un bateau se souvient de la mer,
je t'écris d'une terre où des maisons s'écroulent
Je t'écris de Venise, où les amants s'éveillent au son de vieux clochers
Il y neigera peut-être encore cette année
Je t'écris de la mer, au large de Gibraltar le regard vers Tanger
Je t'écris de l'Afrique où l'on meurt par milliers
Des quatre coins de la terre, je t'écris des tranchées de guerres abandonnées
Je t'écris d'un baiser, de ce banc de Paris
où deux amants s'enlacent dans leur éternité
et que rien ni personne ne pourrait déranger
Je t'écris d'un café, de l'aile d'un avion
où nos mémoires s'enlacent dans ton éternité
et que rien ni personne ne pourrait m'enlevai
Je t'écris de ces ciels de quart monde
où les corps si légers d'enfants trop peu nourris s'élèvent sans faire de bruit
Je t'écris de la rue où l'on danse et l'on chante
Je t'écris du plumier d'un vieillard solitaire à la chambre oubliée
Je t'écris de la part de ces dieux impuissants aux noms desquels on tue
Je t'écris de la main de ces hommes de paix qui n'ont pas renoncé
Je t'écris de la Seine, la tour Eiffel y brille dans des reflets passés
Je t'écris du souvenir d'un baiser par milliers
Des quatre coins de la terre, je frai le tour du monde, d'un jour très ordinaire
Je t'écris de ce rêve de t'avoir tant aimé
Je t'écris ébloui par tant d'humanité
Des quatre coins de la terre, je frai le tour du monde, d'un jour très ordinaire
Je t'écris de ce rêve de t'avoir tant aimé
Je t'écrit ébloui par tant d'humanité
je t'écris des tranché de guerre abandonné
des quatre coin de la terre
je t'écris de ce rêve
de t'avoir tant aimé
je t'écris ébloui par t'en d'humanité
des quatre coin de la terre
d'un jour très ordinaire
je t'écris de se rêve de t'avoir t'en aimé
je frai le tour du monde
je t'écris de se rêve
4 coin de la terre
je frai le tour du monde d'un jour très ordinaire
de t'avoir t'en aimer
par t'en d'humanité
je t'écris ébloui par t'en d'humanité
4 coin de la terre 4 coin de la terre 4 coin de la terre
je t'écris de se rêve de t'avoir t'en aimé
je t'écris éblouis par t'en d'humanité
Grégory Lemarchal
http://www.e-ostadelahi.fr/eoe-fr/wp-content/uploads/valeurs-du-monde.jpg
RépondreSupprimerJe ne connaissais pas ce texte.
RépondreSupprimerC'est tout l'intérêt de ces dimanches poétiques! que de belles découvertes!
RépondreSupprimerJe ne connaissais pas non plus.
RépondreSupprimer:)