Une de mes achats au salon de Fuveau (2009).
Un livre boulversant. Un grand coup de poing au creux du ventre. Un va et vient entre la vie et la mort. La vie de sa fille. La vie avec elle, comme autant d'instants de grâce. La mort de sa mère. Comme un voile noir sur les chose. Une souffrance terrible. Sans nom. Comme cette maladie qui dit rarement le sien. Ce livre touche à un sujet très sensible. La mort d'un parent. Et surtout sa souffrance. Souffrance de ce cancer qui ronge sa mère. Souffrance de l'auteur qui assiste impuissant.
Ce livre est d'autant plus marquant qu'il est autobiographique. Certains passages avec les médecins font vraiment froid dans le dos. L'impression de tristesse est renforcé par tous les petits souvenirs que l'auteur se rappelle. Par la différence entre l'avant et l'après.
Même si ce livre fait mal, il y a pourtant des passages plein de lumière. L'auteur nous parle de son amour de père. Des joies que lui procure sa fille. Des promenades en Provence. De la lumière. Comme autant de petits miracles pour continuer à avancer, à surmonter tout ça. Tout cela avec des mots, des rythmes qui font parfois penser à la poésie.
Un livre fort et dur. Je crois que s'il avait était plus long, je ne serais pas arrivée au bout. Mais une écriture à découvrir.
Résumé : Sa femme lui a dit un soir: « Je n'ai plus de désir pour toi. » Le lendemain elle partait avec leur petite fille de six ans, Marilou. Le choc, terrible, le projette quatre ans en arrière, lors de la disparition de sa mère. Présent et passé se télescopent. Dans la touffeur de l'été, René Frégni ne dort plus, son coeur bat trop fort, écrase tout. C'est un homme foudroyé qui se débat, qui s'accroche aux mots pour ne pas se pendre. Un hymne d'amour à toutes les amoureuses.
Un livre boulversant. Un grand coup de poing au creux du ventre. Un va et vient entre la vie et la mort. La vie de sa fille. La vie avec elle, comme autant d'instants de grâce. La mort de sa mère. Comme un voile noir sur les chose. Une souffrance terrible. Sans nom. Comme cette maladie qui dit rarement le sien. Ce livre touche à un sujet très sensible. La mort d'un parent. Et surtout sa souffrance. Souffrance de ce cancer qui ronge sa mère. Souffrance de l'auteur qui assiste impuissant.
Ce livre est d'autant plus marquant qu'il est autobiographique. Certains passages avec les médecins font vraiment froid dans le dos. L'impression de tristesse est renforcé par tous les petits souvenirs que l'auteur se rappelle. Par la différence entre l'avant et l'après.
Même si ce livre fait mal, il y a pourtant des passages plein de lumière. L'auteur nous parle de son amour de père. Des joies que lui procure sa fille. Des promenades en Provence. De la lumière. Comme autant de petits miracles pour continuer à avancer, à surmonter tout ça. Tout cela avec des mots, des rythmes qui font parfois penser à la poésie.
Un livre fort et dur. Je crois que s'il avait était plus long, je ne serais pas arrivée au bout. Mais une écriture à découvrir.
Résumé : Sa femme lui a dit un soir: « Je n'ai plus de désir pour toi. » Le lendemain elle partait avec leur petite fille de six ans, Marilou. Le choc, terrible, le projette quatre ans en arrière, lors de la disparition de sa mère. Présent et passé se télescopent. Dans la touffeur de l'été, René Frégni ne dort plus, son coeur bat trop fort, écrase tout. C'est un homme foudroyé qui se débat, qui s'accroche aux mots pour ne pas se pendre. Un hymne d'amour à toutes les amoureuses.
RépondreSupprimerOh là là... Ca n'a pas l'air facile. Et pourtant, tu en parles si bien que ça me donne envie. Je le note sur ma LAL !
RépondreSupprimerIl est dans ma PAL, tu me donnes envie, mais j'ai tellement de boulot et d'autres lectures en ce moment... biz
RépondreSupprimerMerci, c'est gentil.
RépondreSupprimerBon courage pour le boulot et bonne lecture!
RépondreSupprimerMalgré ce que tu en dis, ça ne me tente pas trop...
RépondreSupprimerC'est vrai que c'est difficile!
RépondreSupprimerTouchée de trop près par le cancer et la mort d'un proche, je ne suis pas tentée par ce livre qui ne serait pas assez "divertissant" pour moi.
RépondreSupprimerJe comprends tout à fait.
RépondreSupprimerTu donnes tellement envie de découvrir ce livre que je ne peux que le noter, merci Edelwe ! :-)
RépondreSupprimerMais c'est bien volontiers!
RépondreSupprimerJe crains que ce livre ne soit trop "dur" pour moi... Je passe.
RépondreSupprimerJe te comprends! j'ai eu du mal à m'en remettre!
RépondreSupprimerPour moi aussi ce livre avait été un grand coup de coeur.
RépondreSupprimerMais il est très dur!
RépondreSupprimerJ'ai connu ce livre, comme beaucoup en lisant la dernière page de couverture, et la première fois comme pour d'autres commentaires, j'ai refusé de le lire car me projetant aussi sur du passé...
Puis plus tard je l'ai lu, et c'est pourquoi j'en ai acheté un autre: Tu tomberas avec la nuit, qui, lui aussi me balance du vécu, sous un chapitre, légèrement différent celui des juges de divorce,
et leur même fatuité, sensation d'impunité; et cette page sur Louis Nucera, dont j'ai aimé tous les livres. Je lirais donc tous les autres livres de Frégny, et que Marilou soit apaisée...
RépondreSupprimerCe livre m'a beaucoup remuée...René Fregni a une belle écriture, dense et fluide.
RépondreSupprimerj'attends d'avoir 5 mn pour aller acheter d'autres livres....
RépondreSupprimerNous manquons tous de temps.